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mercredi, 22 février 2023 16:40

Fichiers audio

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet PIVA/BF, la CPF a procédé du 24 au 26 janvier 2023, à remise officielle de matériel, équipements agricoles et animaux de trait aux producteurs de la commune de Ziniaré, Nagréongo et Loumbila.

Justification du projet

Au Burkina Faso, nous assistons depuis quelques décennies à une pression accrue sur la terre. Cette course effrénée conduit le plus souvent à un accaparement avec pour conséquence l’expropriation des petits exploitants de leurs terres agricoles. Les droits fonciers légitimes des            communautés rurales se trouvent ainsi menacés.

L’initiative « Land For Life » à travers la Plateforme   Multi-Acteurs sur le Foncier rural au Burkina-Faso » portée par la Confédération Paysanne du Faso avec le soutien de Welthungerhilfe s’inscrit à la fois dans une dynamique de gouvernance foncière démocratique et dans une logique de favoriser des investissements agricoles responsables

Objectifs du Projet

Contribuer à la réalisation du droit à l’alimentation par la sécurisation foncière des exploitants agricoles à petite échelle.

Composantes principales et résultats attendus

  • Influencer la redevabilité de l’action publique en matière de foncier rural au Burkina
  • Assurer Un système de suivi sur les politiques de sécurisation foncière au sein de la plateforme ;
  • Garantir le bon fonctionnement du cadre permanent de concertation et de dialogue autour de la problématique du foncier est fonctionnel (CONA-SFR) ;
  • Contribuer à l’évaluation à mi-parcours de la loi 034-2009 sur le foncier  rural et plaider  en faveur de sa mise en œuvre effective sur    l’intégralité du territoire national ;
  • Mener Un Plaidoyer pour la mise en place et l’opérationnalisation des services fonciers ruraux dans toutes les communes du pays et aussi  pour une augmentation substantielle de l’allocation budgétaire pour la sécurisation foncière des abonnées qui consommaient 50% cette puissance par l’entremise des forces électromotrices (Climatiseur et r&frigerateur)

Zone d’intervention

Territoire nationale

Cibles

  • La société civile
  • Les structures étatiques
  • Les structures d’experts/Recherche
  • Les ONG
  • Le secteur privé
  • Media
  • Bailleurs de fond
  • Communautés rurales

Stratégie de mise en œuvre

  • Connecter les acteurs et promouvoir le dialogue politique autour du foncier à travers la mise en place et l’animation de la Plateforme
  • Produire des connaissances et renforcer les capacités en matière de foncier et de plaidoyer des acteurs concernés
  • Influencer les politiques et les prises de décision en faveur d’une gouvernance foncière et des investissements agricoles responsables.

Justification du projet

Le Projet régional de Dialogue pour la Transhumance apaisée en Afrique de l’Ouest (PRODIATA) est mis en oeuvre pour opérationnaliser la composante 2 du Programme Régional de Dialogue et d'Investissement pour le Pastoralisme et la transhumance au Sahel et dans les pays côtiers d’Afrique de l’Ouest (PREDIP).

Objectifs du Projet

PRODIATA a pour objectif général de contribuer à long terme à faciliter une transhumance transfrontalière apaisée et à améliorer la nutrition des populations côtières et pastorales.

L’objectif spécifique du projet est d’impliquer les acteurs locaux, nationaux et régionaux de la transhumance transfrontalière dans le dialogue et la bonne gouvernance des ressources et des espaces agro-sylvo-pastoraux en réduisant les risques de conflits et en améliorant la sécurité alimentaire.

Composantes principales et résultats attendus

Le cadre logique pour cette l’action  pour améliorer le dialogue transfrontalier et la gouvernance des ressources naturelles se décline en 3 résultats intermédiaires et 7 extrants: La logique d’intervention s’appuie sur l’analyse des besoins dans la note succincte. Les résultats intermédiaires mettent en équilibre l’accent sur la qualité de la gouvernance de la transhumance transfrontalière aux divers niveaux de responsabilité (régional, national, transfrontalier) et sur le rôle de la société civile dans l’amélioration de la mise en œuvre et du contenu du cadre réglementaire existant et dans le changement de perception de l’élevage transhumant par les opinions publiques des pays côtiers. Enfin elle offre les moyens de renforcer les capacités et la légitimité des organisations d’éleveurs, d’agro-éleveurs et d’agriculteurs à porter le dialogue pour une transhumance transfrontalière apaisée.

Résultat intermédiaire 1 : La gouvernance de la transhumance transfrontalière aux divers niveaux de responsabilité (régional, national, local) des acteurs impliqués est améliorée.
Le monitoring de la gouvernance se concentrera sur les indicateurs de performances et de gestion opérationnelle des cadres de concertations transfrontalières et nationaux (Extrant 1.1), sur l’inclusivité et l’effectivité des décisions prises dans le cadre du processus de dialogue de haut niveau pour une transhumance apaisée (E1.2), sur la participation active et informée des OPR aux différentes revues et task force thématiques de la CEDEAO  et sur le succès des actions de plaidoyer pour la mise en cohérence des législations nationales et des décisions régionales(E 1.3).

Résultat intermédiaire 2 : Le cadre réglementaire existant autour de la transhumance transfrontalière et sa mise en œuvre est amélioré au niveau pertinent (régional et national). Le monitoring du cadre réglementaire et de sa mise en œuvre se fera à travers la connaissance qu’ont les usagers des ressources naturelles transfrontalières et les autorités publiques en charge de la gestion des campagnes de transhumances des réglementations nationales et régionales (E 2.1), du nombre de saisine qui ont été adressée à la justice et du niveau d’écarts constatés entre les pratiques et les droits juridiques.

Résultat intermédiaire 3 :
La perception de l’élevage transhumant par les opinions publiques des pays de la zone PREDIP et plus largement de la zone CEDEAO/CILSS est améliorée L’évolution des opinions publiques transfrontalières sur une vision régionale intégrée de la transhumance sera suivie à travers des enquêtes d’opinion au début, à mi-parcours et en fin de projet. La stratégie de communication des OPR sur la question de la transhumance transfrontalière fera elle aussi l’objet de revue régulière afin d’en comprendre l’impact sur les opinions et les acteurs en charge de sa gestion.

Zone d’intervention-Groupes cibles

Les bénéficiaires finaux de cette action sont tous les éleveurs pratiquant ou non l’agriculture (pasteurs, agro-pasteurs, agro éleveurs) résidents et transhumants des régions du sahel (Burkina, Mali, Niger) et des pays côtiers (Nigeria, Togo, Benin, Côte d’Ivoire et Ghana). L’action améliorera le niveau d’information de 120 leaders d’éleveurs (dont 30 femmes) sur les cadres réglementaires nationaux (RI2) et les décisions prises aux différents niveaux (transfrontaliers, national et régional) par les acteurs en charge de la gestion de la transhumance dans les pays sahéliens et côtiers (RI1). Elle permettra aussi que les 3 OPR puissent alimenter en informations les autorités en charge de cette information. (RI1) et puissent influencer le contenu et la mise en œuvre de 3 réglementations à travers un lobying intense à l’intention des élus (RI2). Enfin les bénéficiaires finaux bénéficieront d’une opinion publique favorable à 50% à une vision régionale plus intégrée des avantages de la transhumance, des enjeux qui la sous tendent et des défis qu’elles soulèvent (RI3).
Les groupes cibles sur lesquels l’action va s’appuyer pour obtenir ces changements sont multi – échelles et pour une bonne part déjà existants.

Stratégie de mise en œuvre

Les méthodes de mise en œuvre choisies et les raisons de ce choix.
Il s’agit d’abord de renforcer les cadres de concertation transfrontalière existants dont ceux déjà mis en place par le RBM et l’APESS et les rendre durables à travers une gouvernance partagée et reconnue des décisions prises aux autres niveaux régionaux, nationaux. Ensuite, là où ces cadres de concertations transfrontalières n’existent pas encore (en particulier entre la Côte d’Ivoire et le Ghana), il y aura lieu, dans de mettre en place des plateformes d’innovation chargée d’organiser des rencontres transfrontalières entre agriculteurs et éleveurs dans les espaces de tensions. Ces rencontres aideront, dans un deuxième temps à l’implantation et à la structuration d’organisations d’éleveurs avec comme finalité, à moyen et long terme, la mise en place de cadres intercommunaux transfrontaliers intégrant les collectivités territoriales et alimentant les discussions sur l'élaboration ou les revues des Plans de Développement Communaux et des Schémas d’Aménagement Foncier régionaux en cours d’élaboration. Des outils pédagogiques d’animation du dialogue et des mécanismes d’assistance juridique doivent être développés afin de rendre applicable les avancées d’une vision partagée de l’élevage sur les espaces transfrontaliers. Par ailleurs, il y a nécessité de faciliter des espace nationaux de concertation réunissant les membres du RBM, d’APESS et du ROPPA qui doivent déboucher sur un plaidoyer partagé et des actions de lobbying en vue d’une meilleure anticipation des campagnes pastorales par les cadres décisionnels transfrontaliers, nationaux et régionaux ainsi que de la promotion de la diversité des différents modes d’élevage (mobiles, semi-mobiles, intégrés aux exploitations). Enfin, il est nécessaire renforcer, avec l’appui de CARE et de la SNV, les organisations d’éleveurs et d’agro-éleveurs émergeant dans les pays côtiers, voir de créer, là où elles n’existent pas, des antennes nationales des réseaux régionaux regroupant ces organisations professionnelles, afin d’assurer une équité dans la représentation des agriculteurs et des éleveurs dans les différents pays de la zone d’intervention du PREDIP. Pour atteindre les objectifs, l’intervention proposée s’inscrit directement à trois échelles géographiques de dialogue et de gouvernance.

Le niveau régional, échelle décisionnaire partagée: Le dialogue de Haut niveau pour une transhumance apaisée entre pays côtiers et pays sahéliens est largement amorcé par les organisations d’éleveurs et les États concernés. Il doit être renforcé sur la base des informations remontant des cadres de dialogue nationaux ou transfrontaliers et des travaux prospectifs instruits et soutenus par les organisations professionnelles. En lien avec ce cadre de dialogue inclusif, la CEDEAO a mis sur pied une Task force élevage pour la mise en œuvre de l’ECOWAP, task-force qui a été mobilisée pour la préparation du PRIDEC, comme pour différents travaux, notamment sur la réserve régionale en aliment du bétail.

Le niveau national, échelle structurante d’échange et de proposition: La société civile doit pouvoir participer pleinement aux travaux des Comités Nationaux de Transhumance là où ils existent, être en mesure de proposer des améliorations  du cadre stratégique et réglementaire de la transhumance au profit de la sécurité alimentaire et de faciliter le dialogue bilatéral transfrontalier entre les autorités et entre les organisations professionnelles.

Le niveau local-transfrontalier, échelle de gestion de la mobilité et des bénéficiaires finaux: Les initiatives de gestion de la transhumance transfrontalière doivent être renforcées, prolongées à travers une meilleure participation des organisations professionnelles à l'information, à la planification, à la coordination, aux études et au lobbying des cadres transfrontaliers existants et le cas échéant des plateformes d’innovation. Les acteurs locaux de part et d’autre de la frontière pourront ainsi définir et mettre en œuvre de façon inclusive les activités nécessaires à un exercice apaisé de la transhumance (échanges d’informations, planification suivi, production d’évidence et plaidoyer) au profit des économies locales concernées et seront forces de propositions endogènes dans l’organisation des campagnes pastorales aux niveaux nationaux et régionaux. Ils pourront aussi bénéficier d’outils pédagogiques d’animation du dialogue et des mécanismes d’assistance juridique doivent être développés afin de rendre applicable les avancées d’une vision partagée de l’élevage sur les espaces transfrontaliers.

Objectifs du Projet

Le programme « Mobilité pastorale transfrontalière apaisée et stabilité sociale au Sahel » a pour objectif global de contribuer au renforcement de la résilience des populations agro-pastorales et à la stabilité sociale au Sahel.

Pour y parvenir, trois axes de travail inter-reliés et multi-échelles (régional, national, local) sont mis en œuvre pour la réalisation des objectifs spécifiques suivants :

  • Renforcer la gouvernance organisationnelle, notamment dans ses dimensions de redevabilité et de crédibilité, du RBM et l'APESS,
  • Rendre l'environnement politique et juridique plus favorable aux spécificités du pastoralisme,
  • Soutenir la viabilité économique et sociale du pastoralisme.

Composantes principales et résultats attendus

Il est envisagé d’atteindre les résultats escomptés (changements attendus) grâce à la réalisation d’une combinaison d’activités, dans le cadre des trois axes du programme.

Les activités du programmes, détaillés dans le tableau au point 3.4.2, porteront sur l’accompagnement par SNV d’un processus de renforcement des capacités des OPR (APESS et RBM) en matière de gouvernance inclusive et redevable, notamment aux niveau national et local,  à travers l’implication des femmes et de jeunes.

Sur des dossiers de l’actualité politique dans la CEDEAO et les pays, les capacités d’analyse et d’influence des OPR seront soutenues à travers (i) la facilitation des processus de concertation par le Hub Rural, impliquant ROPPA ; (ii) des appuis techniques et stratégiques de SNV et de CARE pour la qualité des notes de positionnement et la présentation d’argumentaires par des élus et techniciens.

En faveur de la fonction de coordination et de l’articulation des politiques de la DADR/CEDEAO, le Hub Rural facilitera les travaux de la task force sur l’élevage et le pastoralisme.

Pour renforcer la crédibilité et l’autonomisation des OPR, un appui technique est fourni aux OPR par SNV dans le domaine de la gestion administrative et financière, ainsi qu’en gestion des connaissances.

L’appui du MOPPS dans la fourniture de services aux membres, en collaboration avec des tiers (dont le secteur privé), se réalisera spécifiquement au profit du soutien à la viabilité économique et sociale du pastoralisme dans les espaces transfrontaliers. Il s’agit, entre autres, de la réalisation des investissements structurants par les OPR, sous l’égide des intercommunalités. Ces dernieres permettent de réduire les entraves à la mobilité du bétail et de l’accès aux marchés. Elles soutiennent la productivité des systèmes agro-pastoraux, la transformation et la commercialisation des produits par des hommes, des femmes et des jeunes.

SNV portera également des actions de promotion des services informationnels et des énergies renouvelables. En termes d’innovation, il s’agit de renforcer l’employabilité des jeunes en milieu agro-pastorale, ainsi que les dispositifs d’accès à la justice de proximité. SNV renforcera aussi le rôle des femmes et des jeunes dans la promotion d’une culture de paix et de cohésion sociale. CARE intervient sur cet aspect à travers un backstopping technique.

Zone d’intervention-Groupes cibles

Le groupe cible consiste en des personnes, dont au moins 30% de femmes et 30 % de jeunes de 18 à 35 ans. Ces personnes sont des citoyens et citoyennes des pays d’intervention, des membres des OPR et des ressortissant(es) des communes d’intervention. In fine, ils et elles bénéficient directement ou indirectement des effets du programme. La phase de démarrage déterminera avec précision le nombre de personnes.
Le programme interviendra sur 3 des 10 pays de la stratégie intégrée des Nations Unies au Sahel : Mali, Burkina Faso et Niger, tous des pays sahéliens. Le Bénin et le Togo, pays côtiers, s’y ajoutent, sur la base des défis communs, en rapport avec la mobilité transfrontalière apaisée du bétail. En effet, le Togo et le Bénin accueillent des animaux en transhumance, en provenance du Mali, Burkina Faso et Niger, et sur leurs territoires transitent des animaux en convoyage commercial vers des marchés de bétail nationaux, ou au Nigeria. Pris ensemble, ces cinq pays, tous des États membres de la CEDEAO, constituent un espace interconnecté et interdépendant concernant les ressources, acteurs, marchés, politiques et cadres réglementaires. La prévention et la gestion des conflits liés à la mobilité du bétail y sont à l’ordre de jour. Chaque pays gère la question à sa guise, sans véritable concertation avec les autres. Cette situation d’asymétrie et de non-articulation est une des sources de difficultés. Par exemple, tandis que le Bénin a opté pour des restrictions importantes à la mobilité, le Togo a mis en place des mesures qui atténuent les déclencheurs de tensions. Cet état de fait servira de source d’échanges et d’apprentissage dans le cadre de ce programme.

La mise en œuvre des actions à l’échelle locale se concentrera sur trois espaces transfrontaliers d’intervention :

  • Mali (nord-est) – Burkina Faso (nord) – Niger (nord-ouest) : espace du Liptako Gourma
  • Mali (sud-est) – Burkina Faso (sud-ouest) : espace Kenedougou
  • Burkina Faso (est) – Niger (sud-ouest) – Togo (nord-est) – Bénin (nord) : espace WAPA

Ces espaces transfrontaliers sont très étendus et couvrent de nombreuses collectivités territoriales de part et d’autre des frontières. Par conséquent, les communes d’intervention seront choisies en fonction de critères tels que la présence (i) d’intercommunalités, (ii) de cadres de concertation ou de comités de gestion de la transhumance transfrontalière, (iii) de pistes ou couloirs de transhumance définis par les États, (iv) de projets d’appui, ainsi que (v) l’acuité des conflits.

Les principales caractéristiques de ces espaces sont présentées ci-après.

Sous-espace Liptako Gourma : Mali (nord-est) – Burkina Faso (nord) – Niger (nord-ouest)
D’après un diagnostic sur l’agriculture et l’élevage de la région de Liptako Gourma, l’économie y est peu diversifiée et très majoritairement concentrée sur l’agriculture et l’élevage, activités qui occupent environ 80% de la population de la zone. Le pastoralisme y est prédominant et constitue la principale source de revenus pour les populations et la principale source de recettes des collectivités territoriales à partir des taxes prélevées sur la vente des animaux dans les marchés. La zone représente une manne économique pour les trois pays, tous trois exportateurs d’animaux, vers les pays côtiers. Les effectifs de bovins, ovins et caprins dans cet espace représentent 30% du cheptel des trois pays réunis. Cependant, la raréfaction des ressources (eau, fourrage) et des espaces pastoraux, conjuguée à̀ l’accroissement des terres à vocation agricole et la pression foncière, sont des facteurs de perturbation des couloirs de transhumance et de convoyage, aggravés par le climat d’insécurité́. Par conséquent, la vulnérabilité́ des populations agro-pastorales est accrue et les tensions relatives aux intérêts stratégiques des agriculteurs et des éleveurs sont accentuées. 

Stratégie de mise en œuvre

Élaboré de manière participative, ce programme sera mis en œuvre par un consortium (SNV, RBM, APESS, ROPPA, Hub Rural et CARE), qui capitalise d’importantes expériences individuelles et collaboratives, en matière de gestion de programme complexe, de facilitation de dialogue politique et d’influence, de changement organisationnel et de soutien à la viabilité économique et sociale des populations agro-pastorales dans un contexte fragile.

Objectifs du Projet

Objectif global 

Contribuer à la résilience durable des femmes dans les systèmes de production familiaux ASPH à travers la protection de la biodiversité, la conservation et la restauration des sols et le développement des systèmes alimentaires territorialisés                                                                 

Objectifs spécifiques

  • Soutenir l'adaptation et le relèvement des systèmes de production familiaux ASPHF et renforcer les capacités et la résilience des communautés vulnérables à travers des appuis et des accompagnements des organisations de femmes,
  • renforcer les capacités de dialogue et d'influence des leaders paysans notamment les femmes dans les cycles des politiques et programmes publics touchant le secteur ASPH pour une meilleure prise en compte des préoccupations des communautés vulnérables, notamment les femmes et les jeunes.
  • accroître les capacités des collèges des femmes et des équipes techniques dans le suivi et la mise en oeuvre des politiques et initiatives pour la résilience des communautés rurales

Composantes-principaux et résultats attendus

  • Les systèmes de production familiaux ASPH durables, diversifiés sont développés et contribuent à l'amélioration des revenus des femmes ;
  • les capacités de résilience des femmes dans les communautés vulnérables sont renforcées ;
  • les capacités des équipes techniques pour le développement, la mise en oeuvre et le suivi des politiques et programmes de résilience se sont accrues ;
  • la coordination et la gouvernance du programme par les équipes techniques et le collège des femmes sont efficacement assurées

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